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il y a 9 ans
Danièle et Catherine
Par Glafritte
Danièle C. s'emploie depuis des années au sein de l'éducation nationale. Du haut de sa cinquantaine bien entamée, perchée sur ses talons, elle déambule depuis longtemps dans les couloirs de diverses écoles et lycées du territoire. Ces années lui ont donné tant de bonheur. Mariée à un homme qu'elle aime, tout va bien d'autant que cet homme le lui rend bien.
Son époux et elle ont il y a 10 ans de cela pratiqué l'échangisme mais sans toutefois y trouver pleine satisfaction. C'est une page de leur vie qui est tournée même si elle s'est bien déroulée.
Danièle baigne donc dans ce bonheur constant et immuable. Elle aime de temps à autre faire du shopping avec sa meilleure amie Catherine, 45 ans, qui enseigne les sciences dans le même lycée de cette ville de banlieue parisienne. Activité qu'elles vont pratiquer ce samedi justement. Danièle s'apprête doucement et s'habille de façon très coquette comme à son habitude. Elle aimait être « classe », belle, élégante en toutes circonstances et elle disposait d'un panel énorme de vêtements et sous-vêtements tous plus beaux et élégants les uns que les autres. Perchée sur ses petits talons, les jambes gainées de bas beiges la couture sur le mollet parfaitement droite, elle prends place dans sa voiture qui l'emmènera jusqu'au café place du marché où l'attend Catherine. Cette dernière est assise à la terrasse et sirote son café en attendant son amie. Elle a choisi de mettre son leggings noir brillant avec une longue chemise en satin rouge, couleur de ses escarpins. Les deux amies se retrouvent et planifient leur après-midi. La liste des magasins à explorer est grande.
Les achats ne se firent pas attendre. Chaussures, écharpes, lingerie, tout y passe ! La folie de la consommation gagne les deux jolies femmes. Catherine évoque son souhait de s'acheter un tailleur pour un mariage le mois prochain. Dans le magasin elle trouve le tailleur rose dont elle rêvait. Tissu léger à motifs nuancés de fleurs, il était parfait et Danièle hésitait à l'acheter également. Trop forte fût l'envie, direction les cabines d'essayage. Danièle la première entra dans la cabine puis ferma le rideau avant d'ôter sa robe. Catherine derrière le rideau s'assit sur le côté en attendant que son amie passe ce délicieux ensemble. Elle glissa un œil voyeur entre le montant de la cabine et le rideau qui fermait mal et laissait entrouverte cette cabine qui avait auparavant vu mille délices. Catherine ne se trompait pas, son amie Danièle était vêtue fort élégamment sous ses vêtements. Jamais elle n'aurait soupçonnée telle lingerie sous les robes très BCBG de Danièle... Ses bas étaient magnifiquement bien retenus par un porte jarretelles qui arrivait à maintenir les coutures des bas bien droites. Sa gestuelle et son adresse pour passer le tailleur étaient dignes d'une femme de 57 ans. Danièle savait faire, Danièle savait porter ce type de lingerie, et Catherine en fut envieuse sur le moment. La jupe recouvrant subitement les délicieux dessous, Catherine ne put apercevoir que la main aux ongles vernis de Danièle refermer la fermeture éclair de la jupe tant convoitée par les deux femmes. Danièle, fière de son futur achat s'exposa devant Catherine qui restait subjuguée mais non moins admirative de la silhouette de Danièle si sublimée par cet ensemble. Même sa poitrine un peu menue se trouvait mise en valeur de façon superbe par cet ensemble. Comme si elle savait avoir été vue dans son intimité, Danièle fixa des yeux Catherine, comme si elle essayait de la séduire. Danièle comme Catherine sont hétérosexuelles et ne s'adonnent pas à ces pratiques.
Catherine passa à son tour derrière les rideaux en prenant un soin particulier à bien les fermer. Danièle s'assit sur l'autre banc, à gauche, celui de droite ayant été pris d'assaut par les multiples clientes du magasin. Tout comme Catherine, Danièle ne pu s'empêcher de jeter un œil par l'interstice laissé par le rideau de l'autre côté. Elle ne savait pas que Catherine l'avait vue ôter ses vêtement et l'avait ainsi vue uniquement vêtue de son soutien gorge, porte jarretelles et de ses bas couture, le tout enveloppé dans sa jolie culotte en satin qui moulait magnifiquement ses jolies formes.
Catherine ôte son chemisier qui glisse le long de ses bras et dévoile un joli body en dentelle rouge, couvert par son leggings noir. Une image frappa Danièle sans qu'elle soit sûre de ce qu'elle avait vu. Perturbée mais attentive, elle croisa ses jambes faisant crisser ses bas qui se plissaient aux genoux, et s'appuya dessus comme pour s'approcher de la scène à laquelle elle était en train d'assister. Les fesses de Catherine lui semblaient comme légèrement rembourrées à travers son body et son leggings. Le doute fût levé lorsque son amie ôta son legging et s'assit sur le banc. Un tissus blanc mal taillé se faisait voir sous le body en dentelle rouge de son amie. Le doute n'était plus possible lorsqu'elle vit les motifs apparents à travers le body qui devenait légèrement transparent lorsque son tissus se tendait. Catherine portait une protection...
L'essayage terminé, les deux amies repartirent du magasin les mains pleines de leurs trésors pour finir à la terrasse d'un bar comme pour fêter leurs trouvailles du jour. Une longue conversation s'engage entre les deux femmes, mais Danièle finit par aborder le sujet de cette protection qu'elle avait aperçu sous le body de son amie.
Dis moi Catherine, tu as des soucis ?
Non, répondit-elle, pourquoi cette question ?
Je dois t'avouer que le rideau de la cabine fermait mal et je t'ai vue dans la cabine alors que tu te déshabillais.
Ah bon... Et ?
Et... Il m'a semblé que tu portait quelque chose d'épais sous ton body, comme une protection...
Ah... tu l'as vue alors... Ce n'est rien. Rassure toi.
Comment ça ? Tu souffres de fuites urinaires ? Tu as un autre problème ?
Non, non ! (Catherine se mit à rire de bon cœur ce qui rassura Danièle).
Explique moi alors, dit Danièle.
Heureusement que tu es mon amie et que j'ai confiance en toi... Effectivement, je porte des protections assez souvent mais je n'ai aucun soucis d'ordre médical !
Pourquoi portes-tu cela alors ?
Parce que... J'aime bien ça !
Devant le regard ébahit des yeux bleus de Danièle, Catherine choisit bien sa phrase suivante.
Je porte des protections pour adultes par confort, par soucis de tranquillité et par sécurité – dit-elle.
Par confort ? Mais ce doit être fort désagréable de porter ça ? Je ne comprends pas... Depuis quand en portes-tu ?
Cela fait 6 ans que Franck (son mari) et moi en portons régulièrement. Nous en portions lors de votre dernière soirée pour vos 25 ans de mariage !
Je ne m'en suis jamais aperçu... Mais pourquoi porter des couches ?
Elles nous procurent un sentiment d'aise et de sécurité tout en nous offrant une forme d'excitation, mais c'est assez difficile à décrire à une non-initiée. Tu n'as jamais essayé, tu auras du mal à comprendre. Nous faisons notre vie quotidienne en portant très souvent nos couches.
Mais heu... que faites vous avec ? Vous ne les utilisez quand même pas pour ce pour quoi elles sont faites ?
Si bien sûr ! Les toilettes publiques sont si sales que nous les utilisons au moindre besoin, et nous faisons notre journée ainsi. C'est devenu un mode de vie qui nous plait beaucoup. C'est simple et je t'assure, très agréable.
Tu l'as … utilisée aujourd'hui ?
Oui bien sûr ! Je me soulage dedans tout simplement, c'est très pratique je t'assure.
Danièle, notre quinquagénaire, restait bouche bée et croyait avoir perdue son amie de longue date. Voyant le regard inquiet et suspicieux de son amie, Catherine entama un long argumentaire ventant les bénéfices de ses couches tout en soulignant le fait que cette pratique restait innocente et constituait une très jolie complicité dans son couple.
Un bon quart d'heure de discutions s'en suivit, Danièle se trouvait finalement soulagée que son amie ne soit pas une dingue.
Catherine de son côté fut heureuse de dévoiler son jardin secret à sa meilleure amie, sachant que celle-ci gardera le secret quoi qu'il arrive, et lui proposa même de lui donner une couche pour qu'elle essaye lors de leur prochaine sortie. Danièle intriguée et sceptique refusa son offre.
Comme tu veux, Danièle, je n'insiste pas, cela doit venir de toi. C'est comme un jeu et libre à toi d'y jouer ou pas.
La pauvre Danièle est un peu décontenancée. Mais persiste dans son refus malgré un soupçon de curiosité que perçut la belle Catherine.
Catherine lui explique qu'elle comprend sa réaction pour avoir eue la même 6 ans auparavant, qu'elle comprend le sentiment de honte ainsi vêtue, mais insiste sur les bienfaits que lui procurent ses couches au quotidien.
Dans la lancée, Catherine aborde le sujet des dessous de Danièle pour changer de sujet et redonner confiance à son amie après cette conversation au sujet si particulier.
Danièle se félicita de ses dessous, qu'elle choisit toujours avec une très grande attention. Pas question pour notre quinquagénaire de travailler ou de sortir mal vêtue autant dessus que dessous. Catherine la questionna sur le choix de sa lingerie. Le port du porte-jarretelles lui semblait être une contrainte, un accessoire de lingerie vulgaire...
Danièle, forte de ses années d’expérience sort une longue tirade à son amie curieuse sur l'histoire de son amour pour LA lingerie sans trop s'attarder. L'heure de repartir arrivant à grands pas, les deux amies s'échangèrent des au revoir en repartant chacune de son côté en se donnant rendez-vous le lendemain au même endroit pour une balade au parc. Catherine perturbée, soulagée et excitée d'avoir avoué à son amie qu'elle portait des couches, avait glissé son change complet de secours (le même qu'elle portait) dans un des sacs de vêtements de Danièle... laquelle en arrivant dans sa belle et grande maison bourgeoise, le découvrit avant l'arrivée de son mari. Elle s'empressa de ranger ses achats et ne su que faire de cet accessoire étranger mais si doux au toucher du plastique fin le recouvrant. Perdue entre curiosité et perplexité, elle le rangea dans son tiroir à lingerie, sous ses ensembles de soie et de dentelles en attendant l'arrivée de son cher et tendre à qui elle ne divulgua rien des couches de Catherine.
Chapitre 2
Le lendemain matin, après une nuit très active sexuellement, Danièle se leva la culotte trempée jusque sur sa chemise de nuit de nylon bleu. Les deux ne purent absorber l'abondance de semence de Monsieur qui éjacula abondamment dans les entrailles de sa belle durant la nuit. Malheureusement, il dut partir tôt ce matin, l'empêchant d'honorer sa belle Danièle une dernière fois avant sa journée de boulot. Danièle qui ne demandait que cela se leva malgré tout, l'entre jambes dégoulinant de sperme. Elle ôta délicatement sa jolie culotte à dentelle rose qui se voyait à travers sa chemise de nuit, afin de ne pas étaler de sperme sur ses bas à pois noirs qu'elle avait mis hier soir. Dans le lavabo, Danièle lança sa culotte devenue éponge. Un bruit sourd se fit entendre lors de l'arrivée de ce morceau de tissus doux sur la faïence de l'évier, tellement il était imbibé de semence masculine. Danièle ouvrit un de ses tiroirs de lingerie et sortit une autre culotte, qu'elle enfila délicatement, en prenant soin de se mettre devant la fenêtre qui donnait sur l'immeuble en face si un voyeur désirait se masturber en la voyant. Danièle a ce côté exhibitionniste qu'elle a cultivé depuis son expérience libertine.
Les jarretières autofixantes de ses bas et sa culotte apparentes à travers sa chemise de nuit, Danièle descend les escaliers avec son innée élégance, puis rejoint la cuisine pour préparer son café. Chacun de ses gestes son érotiques.
Assise, les jambes croisées, Danièle pense à Catherine et ses couches. Une multitude de questions envahissent son esprit. Pourquoi, comment etc... Le regard perdu dans sa tasse de café, Danièle se remémore les paroles de son amie. « Catherine n'est pas folle, c'est mon amie et je la connais bien » se dit-elle, malgré tout avec le sentiment d'avoir été trahie car Catherine ne lui avait pas TOUT dit depuis qu'elles se connaissent. La tasse terminée, la vue du change complet que Catherine avait glissé dans son sac lui revint à l'esprit. Cet accessoire était caché au cœur de ses petites culottes, dans un de ses tiroirs... Qu'en faire ? Se dit-elle.
Elle avait rendez-vous avec son amie dans 3 heures, ce qui lui laissait largement le temps de se préparer.
Que faire ?
En premier lieu, Danièle choisit ses sous-vêtements. Pour aujourd'hui ce sera son porte jarretelles à 6 jarretelles en satin rouge avec sa nouvelle paire de bas nylon noirs. Très discret mais hautement élégant. Puis elle sortit sa robe fuchsia plissée avant d’attr a p e r le soutien gorge assorti à sa culotte. L'esprit rendu brumeux par cette couche, Danièle ôta sa culotte de nouveau remplie du sperme de Monsieur... Décidément cette couche qui dormait au cœur de son tiroir privé la perturbait. Deux culottes, une paire de bas et une chemise de nuit à laver... La présence de ce sperme qui coule sans cesse lui fait penser à ce change complet doux qui attend dans le tiroir,,.
Elle accélère et passe à la douche laquelle lui remet les idées au clair.
Notre belle quinquagénaire, fraîche et propre s'enduit de crème et se parfume délicatement. Derniers moment de réflexion ultimes. Danièle ouvre son tiroir, en extrait la couche de Catherine et la jette sur le lit avant de la déplier et de l'observer à côté de sa lingerie qu'elle venait de sortir. L'inconnu est trop fort, la petite femme est curieuse et étale la couche sur le lit et se pose dessus, honteuse. Elle saisit l'avant et le rabat sur son ventre . Des sensation inconnues l'envahissent et elle ne peut résister à poursuivre... Elle décolle le premier scotch et le colle sur le devant en prenant soin de bien serrer les jambes. Même chose de l'autre côté, puis avec les scotchs hauts de chaque côté. Les yeux fermés, Danièle se tortille sur le lit conjugal en caressant sa couche sur le devant, l'arrière et les côtés. Debout, elle ne peut s’empêcher de se regarder dans le miroir et de faire un tour dans la maison en prenant soin de passer (comme à son habitude) devant les fenêtres qui donnent sur l'immeuble en face. La cuisine explorée en couche, le salon parcouru en couche, Danièle regagne la chambre d'une démarche tendre et habille malgré cet accessoire sur ses fesses et entre ses jambes.
Dans un moment de doute elle pensa à ôter sa couche, mais s'empressa de mettre en place son porte-jarretelles et d'enfiler ses bas qui glissaient merveilleusement sur ses jambes douces. Debout, elle attacha avec la plus grande précaution les 6 jarretelles à ses bas. Elle s'observa ainsi vêtue d'une lingerie archi élégante et de sa couche. Par dessus, elle enfila sa culotte en satin rouge style vintage, qui couvrait entièrement le change blanc et vierge. Soutien gorge en place, Danièle enfile sa robe plissée et parfait ainsi sa tenue de sortie avec Catherine. Reste à chausser ses talons aiguille roses qui se marient à merveille avec cette douce robe soyeuse qui caresse ses bas à chaque pas. Cette sensation unique, c'est son mari qui la lui enseignée au fil des années. Elle y a pris plaisir, et ne peut concevoir une sortie sans un minimum d'élégance dans ses dessous. Cette fois ci, un accessoire nouveau va perturber quelque peu son assurance habituelle procurée par sa lingerie et ses tenues parfaitement ajustées mais aucune gêne flagrante ne vient l'empêcher de sortir . Danièle est prête à affronter l’extérieur vêtue de sa couche. Dans le miroir, absolument rien ne se voit, c'est parfait, en voiture.
Le trajet vers le même café qu'hier s'effectue rapidement. Danièle ne voit pas la route mais pense uniquement au bruit de sa couche contre sa culotte à chaque fois qu'elle appuie sur les pédales, mêlé au bruit de ses bas qui crissent l'un contre l'autre. Douce harmonie entre nylon, plastique et satin. Danièle se sent bien et se demande comment Catherine va aborder le sujet de sa couche qu'elle a mise dans mon sac hier. Une excitation envahit notre jolie conductrice, et envahit son bas ventre. Etait-ce le jus de son homme qui continuait à couler ou était-ce une excitation sexuelle qui était en train d'envahir sa vulve épilée ? Peu importe, la couche était là pour palier aux deux problèmes et Danièle commençait à en prendre conscience.
Garée, elle sorti de son véhicule pour la première fois vêtue en couche et lingerie fine sous sa robe très bourgeoise. Personne ne savait sauf elle. Même Catherine ne peut deviner, pourtant son regard se porta largement sur ses fesses lorsqu'elles se retrouvèrent . Catherine sachant que son amie a f o r c é ment découvert une couche dans ses sacs, Danièle sait ce que son amie a fait et sait ce qu'elle devine.
La conversation s'entame le plus naturellement possible, c'est à Danièle d'aborder le thème. Lors d'un blanc dans la discussion, elle lâche :
J'ai essayé, je l'ai sur moi...
Catherine émet un large sourire et demande ce qu'elle en pense. Danièle répond un timide « ca va » sans vouloir trop manifester d’enthousiasme. Catherine enchérit en demandant à Danièle si elle voulait bien lui montrer sa couche. L'intimité des deux amies prenait une toute autre tournure. Catherine argumente en précisant que c'est un jeu entre elles rien de plus, sans conséquences, ce qui a pour effet de rassurer Danièle dans sa couche déjà humide pense-t-elle du sperme de son homme qui l'aura plus qu'honorée la nuit dernière. Les deux beautés font un tour dans le parc. Perchées sur leurs hauts escarpins, elles dégagent une classe et une désirabilité immense. Personne ne sait qu'elles portent toutes les deux une belle et douce couche qui, dissimulées sous leurs lingeries, émet un tendre crissement à peine perceptible.
Là, une conversation plus solennelle s'installe entre les deux femmes. Ouvertement, Catherine lui dit qu'elle porte un change complet garni de deux couches droites. Franck, son mari est au courant de ce qu'elle porte et il sait avec qui elle est mais elle ne lui a rien dit au sujet de la couche cachée dans le sac de Danièle. Un doux vent de printemps vient s’engouffrer sous les deux robes, Danièle sens la différence de température entre ses jambes et le haut de ses cuisses carressées par le vent. Elle ne ressent f o r c é ment pas le vent sur son intimité protégée par sa couche, mais apprécie grandement cette sensation de vent, de douceur, de fraîcheur et de sécurité depuis ses chevilles nylonnées jusqu'à ses jarretelles qui tendaient érotiquement ses bas vers le haut. La conversation se faisant de plus en plus franche, Danièle finit par avouer un certain plaisir à porter sa couche. Elle ne la gênait pas, elle faisait partie d'elle à présent. Au bout de 45 minutes de marche, Danièle eut sa vessie qui arrivait à ses limites et en fit part à sa confidente et initiatrice. Catherine lui avoua avoir mouillée sa couche à plusieurs reprises depuis le début de leur promenade. Dans un coin isolé du parc, Catherine se mit devant son amie et souleva sa jupe longue et laissa apparaître un doux spectacle à Danièle qui n'en fut qu'émue. Catherine s'était munie d'un petit porte-jarretelle tout en dentelle et de bas couleur chair, avec sa couche double insert. L'ensemble était bien humide, les marqueurs ayant changé de couleur. Danièle eut la preuve des mictions de Catherine et en rougit...
Devant son regard, la jupe de son initiatrice rabaissée, elle ne pu s'empêcher de lâcher un jet d'urine dans sa propre couche en regardant au loin. Voyant l'abdomen de Danièle bouger, Catherine comprit que son amie était en train de pisser dans sa couche. L'instant se prolongeant, la petite couche de Danièle se gonfla sous sa culotte de satin de belle femme bien sous toutes les coutures. Un sourire échangé entre les deux femmes en dit long, elles se comprirent et poursuivirent leur balade, leurs couches souillées de leur urine et heureuses. Les passants croisés n'y virent rien, Danièle prit confiance en elle, vêtue de cette couche qui de toutes façon ne pouvait être vue même si le vent venait à soulever sa robe. Qu'importe sa culotte masquait tout. Assises sur un banc public, la matière absorbante de leurs couches remplit son rôle parfaitement sous le poids des fesses de ces deux magnifiques femmes.
Heureuse et convaincue, Danièle annonça à son amie qu'elle avait aimé porter sa couche et la mouiller en public. Cependant son époux n'étant pas au courant de cette pratique elle émit quelques réserves et cela constitua une ombre au tableau. Elles devront garder cette expérience secrète pour préserver le doux équilibre de son foyer. Catherine, humble, se retira sans évoquer les changes. Le sien commençant à montrer des signes de faiblesse, elle se retira d'une démarche inchangée. Danièle fit de même après avoir terminé le tour du parc en mouillant son change qui lui avait procuré plus de plaisir qu'elle n'aurait cru.
Seule dans sa voiture, elle prit un tout autre itinéraire déserté par les promeneurs et s'arrêta dans un chemin dans les bois. Moteur éteint, Danièle touche sa culotte et sent sa couche gonflée de sa chaude urine à travers. Elle retire le bout de tissus de sa culotte si douce et se caresse à travers son nouveau sous-vêtement moelleux. Très tôt elle arrive à jouir dans sa couche d'une f o r c e qui la terrasse, la tête sur le volant. 3 minutes lui sont nécessaires pour reprendre ses esprits, remettre sa culotte et retourner chez elle...
Voiture garée dans la propriété, Danièle constate la présence du véhicule de son doux mari rentré plus tôt. Paniquée, mais calme à la fois elle pousse la porte d'entrée. Son mari est en train de préparer à manger. Danièle, comme si de rien n'était l'aide dans les préparatifs. Son mari jette son regard sur les fesses de Sa douce mais ne remarque rien à travers sa robe plissée en satin . Soulagée, Danièle lâche un dernier jet d'urine dans sa couche, comme pour imm o r t aliser cet instant avant de prendre sa douche et de revêtir une tenue plus adéquate pour la soirée.
La couche détrempée sera dissimulée au fond d'une poubelle qui sera jetée dès demain matin.
Chapitre 3
Douce nuit pour la petite Danièle, encore dans les songes de sa découverte du plaisir procuré par ce nouveau sous-vêtement. Intriguée aussi par le fait que son amie en portait depuis si longtemps sans qu'elle n'ait jamais rien remarqué. Elle se leva pensive puis prit son café vêtue de sa chemise de nuit transparente qui laissait percevoir ses dessous. Cette journée sans école lui permettait de corriger ses copies. Elle s'attela à cette tâche mais son esprit demeurait ailleurs. Elle était bel et bien décidée à renouveler l’expérience de porter une couche... Honteuse, elle n'osa pas demander à Catherine de lui en donner, et se décida à en acheter elle-même. Danièle ôte sa culotte et sa chemise de nuit et file sous la douche avant d'attr a p e r une parure de dessous et une paire de bas. Maquillée, parfumée, et vêtue de la première robe de son placard, elle file dans sa voiture pour acheter un paquet de changes. Par soucis d'être reconnue, elle s'éloigne d'une trentaine de kilomètres dans une petite commune où se trouve un magasin de matériel médical. Nerveuse et tremblotante au plus haut point, elle pousse la porte du magasin et se dirige vers le rayon des couches. Une vendeuse l'aborde et lui propose son aide pour le choix. Changes de nuit, de jour, la taille …
Danièle opte pour un modèle de jour car plus discret, puis s'empare aussi d'un paquet de changes à forte absorption. Danièle dans un coup de folie, interroge la vendeuse sans lui cacher que ces couches étaient pour elle... Quel frisson, quelle excitation. Les deux paquets payés, Danièle remonte dans sa voiture heureuse comme une e n f a n t à noël. Son envie de mettre une couche était si forte qu'elle ouvrit un paquet, se saisit d'un change et le mit dans son sac à main. Direction le centre commercial, elle se précipite vers les toilettes publiques. Enfermée dans sa cabine, elle entend que d'autres personnes sont dans les toilettes. Peu importe le bruit, Danièle déplie sa couche et descend sa culotte sur ses chevilles. Elle pose le devant de sa couche sur son pubis tout en soulevant sa robe. De l'autre main, elle replie son nouveau sous vêtement sur ses fesses. Mettre une couche dans ces conditions n'est pas aisé mais Danièle y parvint de ses mains tremblantes par l'excitation, le crissement de la couche et des scotchs perceptibles dans toutes les toilettes. Le change ajusté, elle remonta sa culotte qui maintenait sa couche en place, laquelle se voyait à travers la dentelle rouge. Danièle sortit de la cabine, 3 femmes la regardèrent discrètement mais d'un œil interrogatif. Elle était heureuse de porter sa couche, et fit un sourire léger aux autre femmes avant de quitter doucement les toilettes de sa démarche onctueuse, les fesses couvertes de sa couche qui ne se voyait absolument pas malgré son épaisseur.
Tant qu'à être dans le centre commercial, autant en profiter pour faire quelques achats. Le magasin de lingerie n'attendait qu'elle. Elle y choisit une guêpière puis une jolie parure noire. Par précaution, Danièle demanda à la vendeuse à essayer ces merveilles qu'elle venait de trouver. Dans la cabine d'essayage, elle se déshabilla sans peur, fière d'assumer de porter une couche au cas où quelqu'un la verrait ainsi. Elle se trouva donc en culotte, soutien gorge et bas, perchée sur ses escarpins noirs. Le miroir lui ft prendre conscience de son joli corps vêtu de sa couche dissimulée médiocrement par sa petite culotte. Elle prit un plaisir énorme en lâchant un premier jet dans la ouate de sa couche propre. Essayage terminé, Danièle repartit avec ses achats et traîna dans la galerie marchande en prenant soin de ne retenir aucune miction. Quel confort dans cette couche se disait Danièle ! Nul besoin de courir après les toilettes publiques souvent sales. Elle apprit à apprécier sa couche et ses bienfaits, son côté pratique, et même son aspect érotique pour s'être masturbée dedans l'autre jour. Danièle, de sa démarche élégante, déambulait dans la galerie marchande en assumant son nouveau sous vêtement qui faisait un doux bruit à chaque pas en même temps que claquaient ses escarpins sur le sol. Beaucoup d'hommes se retournaient pour regarder les fesses et les jolies jambes de Danièle sans jamais soupçonner que cette déesse de l'élégance portait sous sa robe, une couche qu'elle prenait plaisir à souiller de ses mictions à l'insu de tous. De retour chez elle, Danièle dissimula ses paquets de couches dans des sacs, dans le coffre de sa voiture. Son mari n'y regardant jamais. Voici son nouveau jardin secret qu'il lui faudra tôt ou tard dévoiler à son cher et tendre époux.
Notre belle professeur de lettres de retour chez elle, poursuivit la correction de ses copies. L'esprit à la fois pris par l'excitation de porter librement sa couche et de pouvoir se laisser aller dedans sans avoir à se lever, mais aussi prise par l'inconnu... Son mari ignorant ce penchant certes innocent, comment réagirait-il ? Danièle allait-elle devoir vivre ce secret sans la complicité de son mari ? Où et comment cacher ses changes ? Pour l'instant, les fesses douces de Danièle étaient bien enveloppées de ouate qui lui procurait mille sensations nouvelles. Ce plaisir, elle n'était pas prête à y renoncer. Son stylo de la main droite, sa main gauche s'aventurait d'elle même vers le plastique crissant du change. Ainsi la concentration sur les copies devenait impossible, le plaisir de porter la couche devenait envahissant, oppressant. Femme sage mais humaine avant tout, elle se laisse aller vers ses instincts érotiques et court vers la chambre où, allongée sur le lit conjugal, elle descend frénétiquement sa culotte le long de ses jambes nylonées et écartées, et plonge une main dans sa couche très humide et chaude. En moins de trente secondes, un tsunami orgasmique vint terrasser l'enseignante si bien élevée. Danièle est foudroyée par le plaisir. Encore la main dans la couche, elle reprend ses esprit en quelques minutes avant de réajuster sa culotte qui pendait sur le talon des ses escarpins.
C'est ainsi que jours après jours, Danièle revêtait ses couches en secret avec la seule complicité de Catherine, laquelle réussit à convaincre notre nouvelle adepte des couches d'en porter lors de son travail.
Catherine porte ses couches régulièrement lorsqu'elle donne ses cours, Danièle n'y était pas encore prête. Cependant après des semaines de pratique lors de shopping et sorties, Danièle finit par se lancer.
Expérience sensationnelle de porter sa protection en faisant ses cours, y trouvant même une nouvelle inspiration.
Elle prit un plaisir immense à faire ses cours avec sa couche sous ses vêtements très bcbg, tout en faisant attention aux téléphones portables photographes qui avaient publié sur des réseaux sociaux des photos des jarretelles sous sa jupe il y a quelques années... Expérience que l’intéressée voulait à tout prix éviter de réitérer même si son physique parfait arrivait à sublimer l'excitation latente de ses élèves, et malgré l'excitation, la convoitise, et les érections diverses de ses élèves et collègues qu'elle procurait malgré elle. Sans doute avait-elle été à l'origine de quelques litres de sperme déversés par la gente masculine.
Forte de cette expérience de sous-vêtements en soie dévoilés, Danièle franchit le pas malgré tout, son goût pour ses nouveaux dessous étant plus fort, elle releva le défi, semaine après semaine, sans incident. Jour après jours elle souillait ses petites couches parfois masquées de ses culottes. Selon le temps, son envie, ses goût, Danièle composait sa journée de belle femme mature, prof de lettres en couches sous sa tenue ô combien élégante et ses dessous qui l'étaient tout autant... mais encore à l'insu de son tendre époux.
En ce mois de mars, les examens blancs arrivent. Danièle se préparait à corriger de multiples copies mais surtout à passer de longues heures à surveiller des classes entières d'élèves bûchant sur des sujets divers et variés. L'occasion pour notre jolie prof de profiter pleinement de ses nouvelles couches. Pendant une semaine, Danièle se prépare donc tous les matins à ces épreuves longues de 4 heures le matin et 4 heures les après midi. Les couches lui auront facilité la tâche car elle parvint à rester tout ce temps dans la classe sans s'absenter de la classe. Il lui suffisait d'utiliser ses couches et rester à surveiller ses élèves. Elle s'amusait du crissement provoqué par sa couche contre ses fonds de robe et ses jupons, en passant entre les rangs des élèves qui, occupés sur leurs copies ne remarquaient rien alors que leur jolie professeure urinait dans ses couches pendant qu'elle marchait d'un pas lent à leurs côtés...
L'examen blanc terminé, les copies rangées, Danielle se dirige vers la sortie du lycée. Sa couche est lourde et souillée de sa journée. Heureusement que le modèle nuit est assez absorbant car elle craignait une fuite en s'asseyant à table à midi avec ses collègues. Rien n'était apparu. Elle prit place dans sa voiture. Elle sentait bien l'humidité de son change qui commençait à saturer, il lui fallait rentrer pour se changer.
Vêtements enlevés, elle déambulât dans la maison en talons aiguilles, bas et lingerie fine en savourant le contact de sa couche sur elle. Quelle merveilleuse journée que celle d'aujourd'hui. Danièle était fière d'avoir portée sa couche toute la journée et d'avoir pissé dedans à l'insu de tout le monde, en parlant à ses collègues, en mangeant à midi, et en surveillant ses élèves... Rien ne semblait avoir alerté son entourage sur la nature de ses nouveaux dessous ouatés et plastifiés. Longtemps elle avait hésité à porter ses couches au travail, mais cette nouvelle journée fut si concluante qu'il lui était devenu indispensable de réitérer l’expérience au point qu'elle décidât d'en porter au quotidien.
D'ailleurs, avant d'ôter sa protection, Danièle ne manquât pas de se masturber la main entre sa couche pleine d'urine de la journée et sa fine culotte en dentelle et en soie. L'orgasme ainsi atteint la terrassa immédiatement, ses jarretelles sous sa jupe en étaient les témoins.
La couche était devenue pour Danielle un nouveau mode de vie, mais il lui fallait aller plus loin. Son imagination plus que fertile lui faisant imaginer mille scenarii, il lui fallait franchir le pas et passer à l'étape supérieure.
Chapitre 4
Le scénario semble parfaitement ficelé. Tout avait été réglé, prévu et établi par avance sans aucune faille afin que tout se déroule comme prévu. La petite Danièle se lève le cœur battant connaissant le déroulement de sa journée. Celle-ci commençant par la douche puis le café avant l'habillement. Selon les instructions, sa couche du jour est une molicare taille L avec 2 inserts qu'elle ajuste parfaitement d'une main de maître. Soutien gorge, porte jarretelles, et culotte légèrement gainante assortis. Bas couture nylon parfaitement ajustés, il ne lui restait qu'à enfiler son fond de robe blanc et sa nouvelle robe fuchsia plissée. Son équipement parfaitement dissimulé et les entrailles nouées, elle inspire un grand coup avant de quitter la maison sur ses escarpins roses. Son passage dans la rue fit tourner beaucoup de têtes tant elle était élégante. Elle jouissait de cette sensation car nul homme ne soupçonne qu'elle porte une jolie et grosse couche. Un quart d'heure et une petite miction lui suffisent pour rejoindre le lycée. Trois cours d'une heure chacun l'attendaient. Elle devait mouiller la couche au fur et à mesure, ce qu'elle fit avec tant de plaisir tout en regardant l'heure fatidique. Son bas ventre la brûlait, elle était comme inquiète de ce qui allait se passer mais à la fois impatiente de voir ce scénario se dérouler.
Son urine chaude avait coulée par légers filets dans sa couche pendant qu'elle faisait ses cours. Elle surpris à temps un élève coquin à tenter de photographier sous sa robe. Elle savait avec son expérience de femme mûre jouer avec les hormones de ses élèves tout en se faisant respecter. Elle aimait son élégance et en jouait devant ses élèves. Bon nombre de ces derniers s'étaient abondamment masturbés de longues années en pensant à elle à en croire les courriers anonymes qu'elle recevait de ses anciens élèves.
Cette fois ci, elle était équipée d'une couche bien épaisse et bien absorbante, mais nul doute que cela n'aurait rebuté aucun élève à faire l'amour à cette plantureuse créature...
La troisième heure de cours passée, la couche alourdie, Danièle quitte le Lycée à 11h35. Le « clac » de ses talons aiguilles résonne dans les couloirs jusqu'à la sortie du lycée. Elle a 10 minutes pour se rendre à l’hôtel du quartier.
Sur place, elle tape le code sur le clavier, pénètre le hall et salue le réceptionniste qui frôle la conjonctivite à regarder les coutures qui dessinent les mollets de la cliente qui se dirige vers la chambre réservée. Le code de nouveau, puis arrivée dans une chambre qui lui semble très correcte. Comme prévu elle remarque la présence de la bouteille de champagne et ne tarde pas à s'en servir une coupe, puis deux. 11H50, on frappe à la porte. Le petit cœur de Danièle bat la chamade, elle avale son champagne, et tremble jusque dans sa couche mouillée car c'est son heure...
De son sac elle sort un masque vénitien et se le pose sur le visage.
De là, elle lance :
« Entrez ».
Mot magique. Tournée vers la fenêtre elle ne doit rien dire. Quatre hommes entrent dans la chambre, eux aussi portent des masques. Elle voit ces 4 mâles bien habillés qui d'entrée de jeux dégrafent la robe de Danièle et l’entraînent vers le sol. Danièle est en soutient gorge et porte jarretelles devant 4 inconnus mais ce qui l'intimidait le plus c'est sa couche. Après tout, elle était là pour cela. Toujours aucun mot ne devait se faire entendre dans la chambre. Jusqu'ici le scénario était parfaitement respecté et les 8 mains des étalons recouvraient le joli corps de la femme en couche. Une main dans la culotte caressant la couche, une autre par dessus la culotte, une autre dans la couche, puis une derrière une jarretière puis dans un bas. La peau de soie de Danièle fit raidir immédiatement les 4 sexes qu'elle s'affaira a libérer adroitement de leurs pantalons et caleçons.
A partir de cet instant, elle plonge dans un univers parallèle et délie ses sens, ôte tout tabou, tout interdit, tout bridage. La petite prof de lettres devint une autre en un instant.
Allongée sur le lit, elle sent 2 mains lui décrocher les scotchs de sa couche mouillée, deux autres dedans (une derrière, un doigt dans l'anus et une devant un doigt dans le vagin), deux autres lui malaxaient ses seins dont le soutien gorge était déjà sur les hanches tout comme son joli fond de robe en dentelle blanche qui faisait semblant de cacher sa lingerie. Enfin deux autre mains lui tenaient sa jolie tête maquillée et un sexe dur comme l'acier vint s'introduire entre ses lèvres. Le va et vient qui s'ensuit au fond de la gorge de cette bourgeoise BCBG lui provoque un jet d'urine récupéré par la ouate de sa couche désormais ouverte.
Chacun de ces 4 mâles vint lui lécher anus, pubis, clitoris, seins, langue. A tout de rôle, ces 4 bêtes lui passent dessus. Tandis que l'un sodomise la belle, l'autre la pénètre vaginalement. Danièle passe à la casserole comme elle ne l'imaginait pas. Le premier mâle ayant vite éjaculé dans son anus, il vient se rincer l'outil dans la bouche de la prof qui se régalait de la dernière goutte de sperme et du goût de ses entrailles désormais dilatées. Ce même mâle n'eut aucun délai avant de retrouver le désir de ramoner la belle vaginalement et retourna immédiatement à sa besogne tandis que Danièle, déjà assommée par ses orgasmes successifs s'affairait malgré tout à son devoir de chienne qu'elle désirait tant.
Ainsi, chacun de ces 4 mâles put s'alléger les testicules de 2 jets de foutre dans les douces entrailles de la respectable prof de français. Elle portait désormais en elle 4 doses de foutre chaud délicatement déposé dans son colon, et 4 autres de ces doses dans son vagin. Elle s'est, par ailleurs, beaucoup appliquée à rincer et nettoyer les 4 queues de sa langue et de sa bouche qui en redemandait tandis qu'elle sentait ses jarretelles tenant ses bas au bord de la rupture tellement ses cuisses étaient repliées
En résumé Danièle se comporta comme une véritable catin durant cet exercice qui la mena vers des orgasmes impossibles à compter ni à qualifier, La petite traînée qu'elle était devenue en avait tant besoin...
En se rhabillant, chacun des quatre fournisseurs de foutre essuyât son chibre avec la jolie petite culotte gainante noire à fleurs de Danièle y laissant ainsi des traces de leur passages sur l'intimité de cette traînée qui se trouve maintenant les jambes écartées, une couche sous les fesses, les seins à l'air, quasi comateuse.
Le dernier éjaculateur conformément au scénario, sort de son manteau une poire à lavement et la remplit d'eau dans la salle de bain, puis en vide le contenu par l'anus de Danielle qui frôle l'inconscience. Un second sera nécessaire pour le remplir avant de lui placer un plug anal troué. Enfin, sa couche lui est remise en place avec précaution par les 4 étalons éjaculateurs.
Il fallut 10 bonnes minutes à Danièle pour retrouver ses esprits embrumés par le champagne et les orgasmes foudroyants successifs quelle venait d'avoir. Elle se retrouve donc avec sa couche bien serrée, 5 de ses 8 jarretelle détachées, le fond de robe et le soutient gorge sur les hanches, les 3 jarretelles encore attachées désaxées et la couture de ses bas sur le côté de ses cuisses roses.
Elle tient à peine debout, les jambes tremblotantes. Il lui faut regagner le lycée, son prochain cours commence dans 20 minutes.
Dans un sursaut, elle réajuste la couture de ses bas le long de ses mollets, attache les jarretières qui avaient cédé sous les coups de butoirs v i o l ents des 4 types qui lui avaient administrées 8 décharges de semence dans ses entrailles. La poitrine de nouveau si joliment soutenue par la dentelle, et survêtue de son fond de robe, elle finit par réajuster couche, porte jarretelles et robe.
Juste avant de quitter la chambre elle récupère sa petite culotte souillée des spermes de ses amants et se la réajusta par dessus la couche et le porte jarretelles. Elle adorait ce geste d'élégance ultime.
En quittant l’hôtel, elle remarqua le regard mille fois plus insistant du réceptionniste sur son corps. Danièle se doute qu'il avait remarqué 4 types entrer dans la même chambre que la sienne et en sortir avant elle. Peu importe, elle file au trot vers le lycée en savourant son plug dans sa couche. Ce dernier laissait passer à chaque pas un léger filet d'eau et de sperme qui se déversait dans sa couche, laquelle s'alourdissait. Danièle était impatiente de s'asseoir et de savourer la sensation de ce plug lui frotter l'anus. Arrivée à temps pour son cours. Aucun de ses élèves ne pouvait deviner que leur prof si attirante, portait une telle lingerie fine agrémentée d'une couche bien inondée et d'un plug anal qui frottait les parois de son anus rempli par le sperme de 4 inconnus qui lui avaient ramoné les orifices 30 minutes auparavant.
L'esprit ailleurs, le corps léger et la couche de plus en plus lourde, elle finit sa dernière heure de cours de la journée et sentait toujours les 4 semences chaudes s'échapper de son vagin pour se retrouver recueillies par sa grosse couche. Il était temps pour elle de regagner sa maison bourgeoise, sa couche en avait vu de toutes les couleurs aujourd'hui et arrivait à saturation. Danièle, la traînée essoreuse de sexes, videuse de bourses dépravée se satisfaisait pleinement de ce nouveau statut. Elle s’accordât même un essayage de lingerie dans une boutique en rentrant chez elle, rien que pour le plaisir de se retrouver en couche, bas et porte jarretelles derrière un fin rideau qui la cachait à peine des client(es) du magasin.
Le retour à la maison s'effectue paisiblement, sans hâte. Son vagin et son anus étaient bien protégés par sa couche et avaient reçus un traitement digne de ses désirs. La prof BCBG dépravée finit par se f o r c e r et relâcher l'ensemble des liquides qui l’inondaient, environ 1 km avant d'arriver chez elle, juste pour le plaisir de se trouver en pleine rue et croiser des dizaines de personnes en portant de la belle lingerie et une couche culotte archi souillée.
La douche fut bonne, et Danièle décide de garder en elle ce plus anal, maintenu par un body-string en attendant son tendre époux, tout en réfléchissant à un nouveau scénario auprès de cette formidable agence d'échangistes auquel elle écrira un commentaire plus qu'élogieux...
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